L’innovation est le moteur du marché de la nutraceutique, et Culture Nutrition est toujours à l’affut des pépites du marché. Aujourd’hui, nous vous dévoilons SparQ, qui donne une nouvelle dimension à la nutraceutique. SparQ revisite l’inhalation et propose aux consommateurs de respirer leurs vitamines. Une cigarette électronique ? Non, de la nutraceutique. On décrypte.
SparQ va au-delà des préjugés autour de l’inhalation
Breath Vitamin Air™
C’est le parti-pris de la marque américaine : faire évoluer l’inhalation vers quelque chose de sain. Bien que le device proposé ne soit pas un substitut de cigarette ou destiné à l’arrêt du tabac, c’est pourtant la première chose qui nous vient à l’esprit : une cigarette électronique.
Le concept en est proche : un dispositif destiné à l’inhalation, et des recharges, ou un usage unique selon le modèle choisi.
Des promesses tendances pour SparQ
Comme tout acteur de la nutraceutique, SparQ se positionne sur des promesses tendances :
- Anti-âge, avec le produit « Pure »
- Vitalité, avec le produit « Fuel »
- Boost avec le produit « Melt »
Côté ingrédients, nous retrouvons des classiques de la nutraceutique : vitamines, plantes, acides-aminés, superfruits… Des cocktails que l’on retrouverait dans des produits aux galéniques plus courantes.
La marque se positionne comme le futur de la nutraceutique et soutient scientifiquement son discours :
- Utilisation d’ingrédients hydrosolubles uniquement dans ses formules
- Analyse de la fonte des ingrédients pour éviter les sous-produits potentiellement nocifs lors de l’utilisation du dispositif
- Absence de nicotine, évidemment
Le futur de la nutraceutique ?
L’inhalation comme remède pour des problématiques ORL n’est pas nouvelle, mais proposer des nutraceutiques à inhaler dans un dispositif est novateur. A notre sens, SparQ pourrait séduire un public de millenials en recherche d’un nouveau mode de consommation, dit plus « sain ». Les codes de la marque répondent d’ailleurs à un univers premium et très aspirationnel, qui pourrait en séduire plus d’un.
En revanche, si on s’arrête sur la communication de la marque et ce que les consommateurs expriment à son sujet, les limites apparaissent un peu plus nettement :
- Hors réseaux sociaux, le device n’est que peu montré « en action » : trop proche d’une cigarette ?
- Nombreux sont les consommateurs à utiliser la marque après arrêt du tabac : une substitution « logique » ?
- Malgré le rationnel scientifique derrière la marque, le recul est-il suffisant ?
Les codes de la nutraceutique évoluent rapidement, et si SparQ amorce un nouveau mouvement, il s’agit, à notre sens d’un gadget, plus qu’une véritable solution santé ou bien-être. C’est d’ailleurs son statut : « Recreational inhalation device« . La réponse est-elle dans l’intitulé ?
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Crédits Photos: SparQ