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🎙️ PiBooM, les céréales pour petits et grands

Le surpoids incarne un enjeu majeur de santé publique en France. Parce que les bonnes habitudes alimentaires s’apprennent dès le plus jeune âge, PiBooM souhaite apporter sa pierre à l’édifice. En effet, la marque souhaite contribuer à une meilleure alimentation des enfants et des adolescents avec ses céréales pour le petit-déjeuner. Rencontre avec Céline Camilleri, fondatrice de PiBooM.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te lancer dans cette aventure entrepreneuriale ?

Il y a deux choses qui se sont passées en même temps. D’un côté, j’avais une envie de liberté, de m’affranchir des règles que je trouvais contraignantes du grand groupe dans lequel je travaillais, pour donner libre cours à ma vision, ma créativité.

De l’autre, une vraie envie de créer une marque pour mieux nourrir mes filles. La vidéo du clip Ulule où l’on me voit comparer les paquets de céréales d’un air désespéré est du vécu. On m’a d’ailleurs beaucoup dit depuis que la création d’une marque part souvent d’un constat personnel. Vous devez être convaincu à 1000% pour emporter les gens avec vous !

céréales piboom
Les céréales PiBooM

Quelle équipe (ou tribu 😊) se cache derrière PiBooM ? Pourquoi eux ?

J’ai eu la chance de pouvoir m’entourer au quotidien de deux personnes que je respecte beaucoup en travail et en amitié, Emeric Capdevielle et Mathilde Lauriau-Tedeschi. Ils me complètent, Emeric par une dimension plus commerciale, Mathilde par une dimension plus créative. Impossible d’en arriver là sans eux, et j’en profite pour les remercier énormément.

Et puis il y a la plus grande tribu : Juliette Bentz, nutritionniste qui travaille beaucoup avec les enfants, qui nous a conseillés dans le brief et le choix des recettes, Delphine Rougerie, la fée du design, qui a créé l’univers de marque (dont les PiMonstres !), et Joanne Gower, une amie photographe qui a un don pour obtenir des expressions super mignonnes des enfants.

Comment décrirais-tu en quelques mots les céréales PiBooM ?

Du bon, du goût, ça doit plaire aux enfants sans discussion, sans négociation : on n’a pas le temps pour ça le matin.

Du bio, c’est la base ! C’est une garantie d’absence d’additifs bizarres, et aussi d’une attention portée à l’environnement par les producteurs de nos ingrédients.

Et nutritionnellement parlant, une attention toute particulière au sucre (40% de moins que la moyenne des céréales du petit déjeuner selon Ciqual 2017) mais aussi aux acides gras saturés très bas, une bonne présence de protéines (entre 8 et 11g selon les recettes), pas d’huile de palme ni d’arômes ajoutés. Donc 100% verts sur Yuka.

Et d’ailleurs, pourquoi ce nom PiBooM ?

Parce qu’il « claque » bien, il est court, mémorable. Le son évoque nos « p’tits bouts ». Et nous avons craqué pour le traitement graphique de Delphine Rougerie, notre designer, avec les deux yeux dans les O.

Comment choisissez-vous les ingrédients de PiBooM ? Une attention particulière pour le sourcing ?

Au début, je souhaitais pouvoir garantir un sourcing 100% français des ingrédients mais notre fournisseur nous a ramenés à la réalité actuelle du bio. Ce n’est pas encore possible de garantir un approvisionnement d’un seul pays pour l’ensemble des ingrédients. Le lieu de production est lui en Italie, un pays reconnu comme la France pour son engagement et son sérieux dans l’agriculture bio.

On a vu des acteurs comme Nestlé se lancer dans des céréales plus saines pour les enfants, avec la marque NAT. Quelles sont les opportunités pour PiBooM face à ce type d’acteurs ?

Tant mieux ! Pour nos enfants : enfin, ce type d’acteurs se met à bouger. Mais aussi pour PiBooM : ça signifie que le besoin et le segment existent et vont donc se développer grâce à eux.

Ces acteurs ont la force de frappe commerciale et media, mais nous apportons un discours et une authenticité différents.

Déjà plus de 400 % de l’objectif atteint sur Ulule, bravo ! Quelles sont les prochaines étapes ?

Merci, la prochaine étape est 500% mais je trouve que 1000% ça « claquerait » mieux 😉. Sinon, il s’agit de la distribution en magasin (nous avons de belles pistes mais on ne peut en parler pour l’instant) et travailler sur de nouvelles recettes. Mes filles insistent.

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