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précarité alimentaire

La France engagée contre la précarité alimentaire dans le monde.

En soutenant le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies (PAM), la France s’est engagée contre la précarité alimentaire, en milieu scolaire. Cette coalition a l’ambition de garantir une alimentation saine et nutritive pour les enfants, dans le monde, d’ici 2030

Le PAM contre la précarité alimentaire à l’échelle mondiale.

La faim dans le monde recule, mais elle existe toujours. 690 millions de personnes souffrent de la faim : ce sont 300 millions de personnes de moins que dans les années 90, certes. Mais le fléau existe toujours. Un constat insoutenable, d’autant plus lorsqu’il est confronté à l’abondance alimentaire dans (à peu près) le reste du monde. Le PAM travaille pour « mettre fin à la faim ».

précarité alimentaire

Les origines de la précarité alimentaire sont multiples : conflits, changements climatiques ou catastrophes naturelles sont les plus évidentes, notamment dans les régions du sud. Mais cette précarité est partout, d’autant plus depuis l’épidémie de Covid-19 qui a poussé de nombreuses personnes vers une instabilité sociale et financière.

La faim impacte toutes les vies. Et celles des enfants encore plus. Les carences en protéines, vitamines et minéraux ont une incidence à court terme, sur l’apprentissage par exemple. Mais aussi, bien sûr, à long terme, sur le développement et la croissance. La France a annoncé contribuer financièrement à cette coalition pour l’alimentation scolaire, pour fournir à chaque enfant un repas sain et nutritif chaque jour.

Un engagement nutritionnel global de la part du Gouvernement.

Avant d’être impliqué à l’échelle mondiale, le Gouvernement l’est sur le territoire français. Il a initié le combat contre la précarité alimentaire avec les repas à 1€ dans les cantines et les restaurants universitaires, ainsi qu’avec une offre de petit déjeuner gratuit. Ce petit déjeuner est mis en place par les municipalités, en priorité dans les REP, et fait l’objet d’un financement de l’Etat (1,30€ / petit déjeuner / enfant). En REP, 13% des élèves arrivent en classe le ventre vide*. L’Etat entend lutter contre la dénutrition liée aux inégalités sociales grâce au soutien de la restauration collective.

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Crédits photos: #395682427 – ©kuarmungadd– stock.adobe.com

*Selon le Ministère des Solidarités et de la Santé

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