Scandales alimentaires, fraudes, manque de transparence… la confiance des Français en l’industrie agroalimentaire s’érode plus que jamais. En quête d’une alimentation saine, responsable, tout en maintenant le plaisir et la praticité, il réclame, proteste, s’unit, sans même parfois se rendre compte de sa propre ambivalence. Cependant, à l’ère où le bashing est au cœur des médias, il est temps d’écouter d’une oreille attentive ce dont le consommateur a besoin. De la transparence, être acteur de son alimentation, retrouver confiance et plaisir dans son assiette.
Les stratégies de réassurance évoluent, et vite
Le marketing de masse orienté « produits » avec preuve de transparence on-pack ou encore le « marketing de l’engagement » ne suffisent plus. La priorité des marques agroalimentaires de demain :
- Co-création et coopération
- Parler Franc
- Capital sympathie
Et le « marketing for serving, not for selling » n’a jamais eu autant sa place. Un des enjeux majeur réside ainsi dans le partage d’information intelligente plutôt que de noyer le consommateur (épuisé) de campagnes publicitaires « produits ».
Et les inspirations sont nombreuses ! Ce auprès des plus grands groupes mais aussi des start-ups qui font de leur plateforme de marque des symboles en lesquels le consommateur CROIT.
Vers une redistribution des forces à l’ère du bashing
Il est d’ailleurs justement temps d’accepter une redistribution des « forces » entre consommateurs, agriculteurs, industriels, distributeurs (jusqu’aux acteurs de l’information alimentaire) pour un nouveau modèle alimentaire sain et plus pérenne. L’enjeu ? Que la transition alimentaire s’étende à l’accessible.
Start-ups, grands groupes, ou même « penseurs » d’une idée qui pourrait faire évoluer l’offre alimentaire de demain, allons-y…
Créons, challengeons, réadaptons, élargissons, co-construisons, bâtissons !
Inspirez-vous avec la tendance :
« ECOUTE – L’ère du bashing : meilleur moyen de se faire entendre ? »
