Toujours en vogue, les eaux végétales se rafraîchissent encore cette année avec de nouvelles sources qui pourraient bien faire de l’ombre à l’ambassadrice du marché : l’eau de coco.

Après les tree drinks à base d’érable, de bouleau ou encore de baobab, et plus récemment l’eau d’olive, Water Works innove au Royaume-Uni avec une eau de cactus et une eau de pastèque.

Quels atouts renferment donc ces supervégétaux hydratants ?

L’eau de cactus pourrait bien « piquer » la place à l’eau de coco

Elle montrait déjà ses couleurs gourmandes l’année dernière, elle fait toujours parler d’elle cette année : j’ai nommé la figue de barbarie ! L’eau de cactus n’est en effet autre que le jus de ce superfruit. Celle de Water Works en contient 30 % (non concentré).

On lui attribue ces bienfaits :

• 24 antioxydants pour hydrater, revitaliser la peau tout en réduisant les inflammations
• Rafraîchissant et moins calorique que l’eau de coco
• Sans sucre ajouté, sans conservateur

La startup n’est pas la première à valoriser les atouts de la figue de barbarie : allez donc faire un tour du côté de Nopal Nutra ou encore Cali Water !

La nouvelle « fruit drink » de l’année : l’eau de pastèque

Elle fait la une de la presse et des blogs féminins et santé, elle est pressée à froid, contient 100 % de jus de pastèque sans eau ajoutée, de la vitamine C, des vitamines du groupes B et des caroténoïdes : l’eau de pastèque est l’allié de l’été 2017.

Detox et peu calorique, Water Works l’a aussi renfermée dans une brique 100 % recyclable.

Quel avenir pour l’hydratation végétale ?

Les eaux végétales ont encore des beaux jours devant elles puisque selon Zenith Global, ce jeune marché à fort potentiel, qui pesait déjà 2.7 Md$ en 2016, devrait doubler d’ici 2020 ! On voit en effet aujourd’hui peu d’obstacles à cette nouvelle façon de se désaltérer qui devrait continuer à séduire les consommateurs en quête de naturalité et d’exotisme.